Cet appui de la Banque mondiale offre l'opportunité au pays d'apporter quelques solutions à la question du chômage.

Sur la base de son Rapport 2013, dans lequel la Banque estime que » l'emploi est un vecteur de croissance et non un accessoire de la croissance », l'institution financière a décidé d'allouer cette somme au Burkina Faso.

« Ce projet devrait servir de catalyseur pour mobiliser toutes les énergies, afin de mettre le travail au centre des inquiétudes. Il va permettre de renforcer les capacités des jeunes et leur offrir jeunes, des possibilités d'effectuer des formations qualifiantes ou de faire de l'apprentissage pour acquérir des compétences dans un métier donné », explique la Représentante-résidente de la Banque au Burkina Faso, Mercy Tembon.

Ce financement qui s'étale sur une période de cinq ans, vient en renfort au Programme spécial de création d'emplois pour les jeunes et les femmes et contribuer surtout de façon significative, à la mise en œuvre de la Stratégie de croissance accélérée et de développement durable (SCADD).

Parmi les axes du projet, figure la composante, Travaux à haute intensité de main-d'œuvre qui va offrir une opportunité aux jeunes de faire une formation complémentaire et donner à ceux qui n'ont pas eu la chance d'obtenir des qualifications, de commencer une formation, selon le ministère en charge de la jeunesse.

TT/of/APA