Ce dernier a pourtant obtenu la confiance de ses compatriotes de Washington qui le trouvent à même de mener désormais la barque et de rallier à la cause de l'association, les «Green cardis». Ces derniers, environ 300, détenteurs de la fameuse et indispensable Green Card constituent un groupe très influent et on leur reconnaît une capacité de mobilisation et d'organisation très forte. De plus en plus de voix s'élèvent, en tout cas au sein de l'Aburwa pour que le président sortant cède son fauteuil afin que cette structure puisse relever les défis qui se posent à elle.