Politique, nécrologie et faits divers à la Une des journaux burkinabè

| 01.10.2014
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Politique, nécrologie et faits divers à la Une des journaux burkinabè
© DR / Autre Presse
Politique, nécrologie et faits divers à la Une des journaux burkinabè
Les journaux burkinabè ont évoqué ce mercredi des sujets variés allant de la nécrologie aux faits divers, sans oublier la politique nationale, marquée par le dialogue initié par le président Blaise Compaoré.

Ainsi, l'hebdomadaire L'Opinion revient sur le dialogue politique initié par le chef de l'Etat Blaise Compaoré, la semaine dernière, le qualifiant à sa Une d'«initiative lumineuse et salutaire ».

En effet, ce journal proche du pouvoir en place, estime qu'une fois de plus, en initiant un dialogue entre les acteurs politiques, Blaise Compaoré « prouve, si besoin en était, qu'il est et reste un homme d'Etat soucieux de la paix et de la démocratie dans notre pays ».

L'hebdomadaire évoque également l'affaire concernant la filature de l'ancien maire de Ouagadougou, avec ce titre : «Simon et ses hommes répondront de leur forfait en justice », reprenant les propos du directeur général de la police.

Pendant ce temps, Aujourd'hui au Faso mentionne à sa Une : «Situation nationale : Les deux voies de sortie proposées part l'autre front».

Le même journal se demande : « Dialogue politique : les préalables ont-ils créé le clash ?»

Pour sa part, le quotidien national annonce le décès de Jacques Prospère Bazié, journaliste, écrivain et homme de culture burkinabè en titrant : «Jacques Prosper Bazié est décédé ».

Le benjamin des quotidiens burkinabè, Les dernières nouvelles du Faso (DNF), évoque ce décès à travers le titre : « Dernière minute : Jacques Prosper Bazié a tiré sa révérence».

Dans le registre des faits divers, Le Quotidien titre : «Braquage devant une banque à Ouagadougou : 11 millions de F CFA emportés », rappelant que depuis un certain temps, on assiste à l'émergence d'une nouvelle race de bandits au Burkina.

En effet, selon Le Quotidien, ces bandits n'hésitent pas à narguer les forces de défense et de sécurité, les forces de l'ordre, l'Etat, plongeant ainsi leurs victimes et les populations dans une totale psychose.

« Ces braqueurs d'une autre époque opèrent, pour ainsi dire, au nez et à la barbe des hommes de tenues, à quelques jets de pierres de brigades de gendarmerie, de commissariats ou de postes de police, le plus souvent le visage découvert, s'ils n'adressent pas des messages à fouetter l'orgueil », écrit le journal.

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