« SYNACIT : 48 heures de grève chez les inspecteurs de travail», tel est le titre qui barre la Une du journal L'Observateur Paalga, le plus ancien des quotidiens privés du Burkina Faso.
Le journal Le Quotidien, pour sa part affiche à ce sujet : «Syndicat autonome des contrôleurs et inspecteurs du travail : Une grève de 48 heures pour exiger la satisfaction de leurs préoccupations ».
A lire l'article, après avoir organisé un sit-in les 25 et 26 juin 2014, le SYNACIT est passé à la vitesse supérieure.
« En effet, depuis le mardi 16 septembre 2014, les contrôleurs et inspecteurs observent un arrêt de travail de 48 heures sur toute l'étendue du territoire national pour exiger la satisfaction de leur plate-forme revendicative », écrit Le Quotidien.
Pendant ce temps, Le Pays aborde le sujet en titrant : «Grève des inspecteurs et contrôleurs de travail : Pour la satisfaction de leur plateforme revendicative», là où Aujourd'hui au Faso parle de « 48 heures sans conciliation ».
Le journal cité en deuxième position précise que «cet arrêt de travail fait suite, selon le secrétaire général du SYNACIT Hamidou Belem, à la non-satisfaction de leur plate-forme minimale et aussi au manque de volonté des autorités malgré les différentes manifestations».
Le quotidien national Sidwaya, de son côté, évoque la visite du général Nabaré Honoré Traoré au bataillon burkinabè en terre malienne en titrant : « Sur le théâtre des opérations au Nord-Mali ».
Le même journal parle du lancement du projet « Filets sociaux au Burkina Faso », en mentionnant en Une : « 40 000 ménages vulnérables ciblés ».