Le quotidien national Sidwaya consacre un dossier spécial d'une quinzaine de pages au Ramadan avec ce titre à la Une : ''Fête de l'Aïd El Fitr : Moment de prière et de bénédictions pour le musulman''.
Dans le dossier, l'on peut aussi lire, des articles intitulés ''Connaissance de l'islam, une exigence pour le musulman'', ''Mode vestimentaire chez la femme en islam, au nom du respect et de la dignité'', ''Cohésion inter-religieuse : + L'islam enseigne l'entraide entre tous les êtres humains +, dixit Cheick Ismaël Dera''.
Pour sa part, le quotidien privé Le Pays affiche à sa Une : ''Village chinois à Niamey : Elles jeûnent le matin et se prostituent le soir''. Il s'agit là d'un reportage dans la capitale nigérienne sur le phénomène de la prostitution.
'' ... récemment, précisément le 28 juillet dernier, j'ai décidé, au cours de ma troisième visite à Niamey, à l'occasion du match Mena–Etalons, de faire un tour dans ce village chinois tant apprécié par les populations nigériennes ainsi que par les étrangers. Quelle ne fut ma surprise lorsque j'ai constaté que dans ce lieu, il se passe des choses pas trop catholiques ! Des filles qui, en ce temps de carême, jeûnent la journée et s'adonnent à la prostitution la nuit. Incroyable, mais vrai ! '', relate le reporter.
Le même journal parle de la mise en place du Sénat au Burkina Faso en titrant : ''Elections sénatoriales burkinabè : les cinq représentants de la diaspora sont connus''.
A propos de la situation à l'Université, Le Pays mentionne : ''Manif des étudiants contre la fermeture des cités : L'ANEB (Ndlr : Association nationale des étudiants du Burkina) félicite les manifestants''.
Le Quotidien, quant à lui, arbore à sa Une : ''Offre du ministère de l'Action sociale aux expulsés des cités universitaires : Les étudiants refusent le statut de réfugiés''.
Les journaux burkinabè ont également évoqué la situation en Côte d'Ivoire avec la libération des pros-Gbagbo.
Ainsi, dans sa rubrique ''Mercure'', Sidwaya estime qu'il s'agit d'''un pas de géant vers la réconciliation'', là où son confrère Le Pays pense que c'est ''Un geste élégant aux risques énormes''.
Pendant ce temps, L'Observateur Paalga, à propos de cette libération provisoire de responsables du Front populaire ivoirien (FPI), s'interroge ainsi : ''Simples mesures cosmétiques ou réelle volonté de réconciliation ?''.