Dans un communiqué, le Cnp-NZ explique que le thème de la journée a été arrêté eu égard au contexte de l'heure au Burkina Faso, marqué par le vif débat autour de la levée de la limitation du mandat présidentiel et la mise en place du Sénat. Les journalistes sont comme pris dans l'étau, entre les défenseurs et les opposants à la modification constitutionnelle.
Les tensions politiques laissent les professionnels des médias dans une situation d'insécurité. Ils sont victimes de menaces et de violences qui vont jusqu'aux cambriolages de leur lieu de travail.
La question sera débattue par les professionnels eux-mêmes et les leaders de la société civile. Au terme de la célébration, sera décerné le prix du meilleur journaliste instauré depuis 2012.