En septembre les députés avaient voté une loi fixant de 1 à 5 millions FCFA, les amendes à payer pour les délits d'outrage, d'injure et de diffamation. Les peines d’emprisonnement avaient été supprimées.
Selon le ministre de la Communication Frédéric Nikiéma, malgré l’avancée sur la dépénalisation des délits de presse, les quantums étaient jugés élevés par les acteurs des medias qui les trouvaient en déphasage avec les réalités économiques et financières des entreprises de presse.
Le ministre a estimé que la nouvelle loi est une bonne synthèse qui permettra de relever de nombreux défis au niveau des médias.
Agence d’Information du Burkina
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